Anallergon est ainsi indiqué pour toutes les formes d’allergie : allergies saisonnières (rhume des foins), asthme, eczéma, urticaire d’origine allergique, hypersensibilité aux piqûres d’insectes. Dans les cas d’allergie chronique, une cure de trois mois répétée trois années de suite sera nécessaire, toujours avec la même posologie.
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Qu'est-ce que l'allergie ?
Afin de maintenir son équilibre intérieur, tout organisme doit gérer au mieux ses relations avec l’environnement. Pour ce faire, il dispose d’un système immunitaire complexe qui lui permet de reconnaître les agents stressants de la masse de tous les autres. Ainsi, il élabore des stratégies pour éliminer les premiers avant-même que ceux-ci puissent avoir un effet délétère sur lui tandis qu’il tisse des relations d’échanges fructueux ou de tolérance mutuelle avec les autres.
L’allergie est donc une réaction anormale ou/et exagérée de l’organisme à une ou plusieurs substances de son environnement. C’est donc le signe d’un dysfonctionnement du système immunitaire.
Depuis quelques décennies, les phénomènes allergiques ne cessent d’augmenter en fréquence au point d’être devenus un problème de santé publique. Les traitements allopathiques, s’ils parviennent à induire une diminution significative des symptômes handicapants, ils ne parviennent pas réellement à guérir de la maladie. Remèdes de fond et de crise sont couramment poursuivis des années durant. Avec leurs cortèges d’effets indésirables plus ou moins sévères.
L'Action d'Anallergon
« LE MICROBE N’EST RIEN. LE TERRAIN EST TOUT » Antoine BECHAMPS
L'usage du complément alimentaire Anallergon peut améliorer significativement le « Terrain » et ainsi permettre une diminution importante des gênes et irritations. Pour cela, il est important d’utiliser Anallergon dès les premiers signes d’apparition de l’allergie.
Anallergon agit sur le « Terrain » en vue d’obtenir des résultats durables, il peut affiner et activer la réponse immunitaire à lui seul.
Le temps requis pour que les divers déficits en micro-nutriments essentiels soient comblés peut être relativement court, de l’ordre de quelques semaines. Bien que ce processus soit graduel, les effets s’enclenchent néanmoins relativement rapidement et certains symptômes diminuent en intensité en peu de temps pour ensuite s’estomper totalement.
Il faut bien comprendre que la disparition des symptômes est la conséquence du travail sur l’organisme (le terrain). Pour que les effets soient pérennes, l'utilisation d'Anallergon doit se poursuivre sur une certaine période et même dans certains cas, être répétée sur quelques années en anticipation du retour des symptômes.
C’est pourquoi, en plus de l’adoption d’une hygiène de vie saine (régime de type méditerranéen, pratique d’une méthode de gestion du stress), il est recommandé :
- En cas de troubles allergiques saisonniers, de commencer cette complémentation au plus tôt avant le début des troubles allergiques saisonniers, de la continuer pendant tout le temps que dure normalement la crise saisonnière et au moins un mois et demi après sa fin.
- En cas d’allergie chronique, de commencer la complémentation au plus tôt tout en sachant qu’il faudra la prolonger avant de pouvoir juger de son efficacité. Anallergon a été conçu dans cet esprit à partir de substances naturellement présentes dans l'alimentation dont un certain nombre d’études ont suffisamment établi leur implication et leur intérêt dans la résolution des phénomènes allergiques.
- Quercétine : elle inhibe la production d’histamine, l’un des principaux médiateurs de l’allergie (Une relation a d’ailleurs été établie entre une forte consommation d’aliments riches en quercétine et une diminution de l’asthme). De plus, la quercétine est un puissant antioxydant et anti-inflammatoire. Malheureusement, la quercétine est mal absorbée au niveau de la muqueuse intestinale. Toutefois, il existe une astuce pour contourner cet obstacle, l’associer aux bromélaïnes de l’ananas.
- Bromélaïnes : enzymes protéolytiques, bien connues pour leur action anti-inflammatoire, mais qui aussi facilitent l’absorption intestinale de la quercétine. Quand bromélaïnes et quercétine sont associées, leur action anti-inflammatoire rivalise favorablement en efficacité avec certains anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) (1).
- Vitamines C et E : Vitamine E : quand la quercétine est associée aux vitamines C et E, son pouvoir antioxydant est encore accru (2).
- Vitamine D : non seulement elle protège des infections notamment virales, mais elle prévient les débordements de la réaction inflammatoire.
- Magnésium (glycinate) : historiquement, ce minéral est l’un des premiers remèdes de l’allergie, bien avant l’ère de la corticothérapie et des antihistaminiques. De plus, il intervient dans la synthèse de la sérotonine, dont la carence est responsable d’anxiété, d’irritabilité, facteurs bien connus pour aggraver les phénomènes allergiques. Sous forme de pidolate - donc liposoluble et assimilable par l'organisme -, non seulement, il n’est pas immédiatement éliminé par voie urinaire, mais il traverse mieux les membranes cellulaires où il agit réellement.
- Vitamine B6 et Taurine : deux fixateurs essentiels du magnésium.
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Conseils d'utilisation:
Dose recommandée : Deux gélules le matin et deux autres le soir, de préférence 5 minutes avant les repas. En cas de troubles allergiques saisonniers, il faut initier la prise des gélules 2 à 3 mois avant leur début en sachant qu’il faut environ trois mois pour qu'Anallergon puisse agir afin de renforcer et affiner la réponse immunitaire et contrecarrer les manifestation allergiques.
Composition
Quercétine, Glycinate de Magnésium, Acerola fruit extrait sec 25% titré en Vitamine C naturelle, Bromélaïne, Taurine, Vitamine E naturelle, Vitamine B6, Vitamine D3, Silicium
1** JP Tarayre, H Lauressergues : « Advantages of a combination of proteolytic enzymes, flavonoids and ascorbic acid in comparison with non-steroid anti-inflammatory agents » dans « Arzneimittelforschung »,1977 ; 27(6), pp. 1144-1149.
2* B Stavric : « Quercetin in our diet : from potent mutagen to probable anticarcinogen » dans « Clinical Biochemistry » 1994 ; 27, pp. 45-48.
